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Introduction

La vie en entreprise est souvent ponctuée de situations qui relèvent du théâtre… parfois du théâtre de l’absurde.
Certaines pratiques, aussi banales qu’elles paraissent, nuisent à la qualité de vie au travail (QVT), à la santé mentale en entreprise, mais aussi à la marque employeur.

Ces absurdités, je ne les invente pas : je les ai réellement vécues. Et elles montrent toutes une chose : ce qui épuise les salariés, ce n’est pas la charge de travail, mais l’impression de faire des choses inutiles.

Voici cinq exemples concrets qui illustrent parfaitement le problème, et ce qu’ils révèlent des enjeux RH et de la culture d’entreprise.

Exemple 1 : 10 minutes qui changent tout… ou rien

Un salarié commence depuis des mois à 8h30, selon un accord qui respecte ses contraintes personnelles.
Un jour, on lui demande d’arriver à 8h20 “pour l’image”.

Résultat : un conflit naît pour 10 minutes insignifiantes.
Dix minutes qui ne modifient ni la productivité, ni la satisfaction client, ni la marque employeur.

👉 Dans une logique RH cohérente, le respect des contraintes individuelles est un levier fort de fidélisation et de bien-être au travail.

Exemple 2 : “C’est comme ça pour tout le monde”

La fameuse phrase qui tue toute discussion.
Une assistante se voit imposer ses congés en août. Pendant ce temps, les managers, eux, doivent assurer la continuité des appels clients… depuis leur portable personnel en vacances.

👉 L’équité ne se résume pas à appliquer la même règle à tous.
Une culture d’entreprise saine repose sur la capacité à concilier organisation, contraintes individuelles et performance collective.

Exemple 3 : Quand le tampon devient un KPI

Certains commerciaux devaient prouver leur prospection terrain en ramenant… le tampon des entreprises visitées.
Résultat : ils demandaient un coup de tampon et repartaient.

Le tampon est devenu un indicateur officiel, la vente un objectif secondaire.

👉 En matière de management, RH et QVCT, choisir les bons indicateurs est essentiel.
Un mauvais KPI dévalorise la performance réelle et décourage les équipes.

Exemple 4 : Le reporting qui ne sert à rien

Un autre grand classique : le reporting quotidien de 4 pages.
Une heure par jour consacrée à remplir des cases que personne ne lit.
Et quand un salarié ose demander “à quoi ça sert ?”, la réponse est : “Sans ça, impossible de comparer”.

👉 Ce type de pratiques nuit directement à la motivation et à la santé mentale en entreprise.
Une formation managériale bien pensée permet de repenser le pilotage et d’alléger la charge mentale.

Exemple 5 : La réunion interminable

Deux heures de réunion pour décider… si une colonne doit être bleue ou grise sur un document interne.
Décision finale ? Rouge.
Pendant ce temps, les vrais sujets restent en suspens.

👉 La réunionnite est un symptôme courant d’une culture d’entreprise mal cadrée.
Former les managers à l’animation de réunions efficaces et à la priorisation est un investissement RH stratégique.

Conclusion : sortir de l’absurde pour améliorer la QVCT

Ces situations ne sont pas des anecdotes isolées. Elles sont le quotidien de nombreuses entreprises.
Elles montrent que ce qui fatigue les collaborateurs, ce n’est pas seulement le travail, mais l’impression de perdre du temps dans des pratiques déconnectées de la réalité.

Pour améliorer durablement la qualité de vie et des conditions de travail (QVCT), il faut avoir le courage de poser une question simple :

“Pourquoi fait-on ça ?”

👉 Remettre en cause ces absurdités, c’est aussi renforcer la marque employeur, fidéliser les talents et poser les bases d’une culture d’entreprise plus saine.

Et vous ?

Quelles sont les absurdités que vous avez vécues dans votre entreprise ?

Chez Popmood, nous accompagnons les organisations à identifier ces freins invisibles et à construire des solutions concrètes grâce à nos formations sur-mesure et nos interventions en RH.

Nous vous formons pour mettre en place

Une marque employeur forte